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John Vibes
6 février 2016
( ANTIMEDIA ) Le gouvernement chinois fait face à un tollé général au milieu de nouvelles allégationsinsinuant que les autorités ont systématiquement volé les organes de prisonniers politiques illégalement enlevés de force dont des tibétains, des musulmans ouigours et des chrétiens.
Selon Newsweek , très respecté journal d'enquête dans le monde certifie que des milliers de personnes ont eu leurs organes extraits de force, sans anesthésie, alors qu'il était détenu dans les prisons chinoises.Beaucoup de victimes appartiennent à un groupe religieux interdit appelé Falun Gong , un interdit, bien que la religion chinoise soit pacifique crée en 1992. Les membres doivent continuer à faire face des discriminations constantes dans le pays.
La persécution religieuse est une menace sérieuse pour de nombreuses personnes en Chine - en dépit du fait que le gouvernement communiste n'est pas une religion officielle d'Etat.
Au fil des ans, ce même gouvernement a emprisonné plusieurs membres de groupes dissidents, y compris les Tibétains et des chrétiens et des musulmans ouigours. Les individus de ces groupes incarcérés ont allégué des violences graves, y compris le prélèvement d'organes. Les mauvais traitements signalés et procédures forcées remontent aux années 1990 et comprennent les extractions de foies, cornées et les reins.
Comme chercheur Katrina Bramstedt dit Newsweek:
"Il est connu que les chirurgiens chinois effectuent la procédure de retrait [sur les prisonniers politiques] et parfois le« donneur »a toujours été en vie au cours de ce processus - le processus de prélèvement d'organes est ce qui les tue en fait."
Le gouvernement chinois a nié ces allégations. Les responsables insistent sur le fait qu'ils n'ont jamais récolté les organes de prisonniers contre leur gré - et que tous les "dons" sont volontaires.
Dans un récent documentaire SBS Dateline sur cette pratique, un étudiant en médecine a dit qu'il se souvenait avoir vu le sang couler sur un sujet vivant quand il a découpé son corps. Il a dit il a enlevé le foie de l'individu et deux reins, ajoutant que les procédures sur les détenus étaient exceptionnellement rapide et bâclée.
Le documentaire a révélé comment les patients sont secrètement placés dans des incinérateurs à l'hôpital alors qu'ils sont encore en vie - après organes sont prélevés de leur corps.
Intitulé Récolte humain: le trafic d'organes de la Chine, l'exposé a constaté que lors d'une enquête de huit ans, le gouvernement chinois a pris 11.000 organes de prisonniers politiques sans anesthésie chaque année.
Un chirurgien interviewé dans le film dit qu'il a prélevé des cornées de 2.000 personnes alors qu'ils étaient encore en vie.
Selon une enquête 2008, ONU trouvé:
"Il est rapporté que les employés de plusieurs centres de transplantation [en Chine] ont indiqué qu'ils ont utilisé des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants pour les greffes."
La Chine est l'un des plus grandfournisseur au monde d'organes, mais ils auraient aucun programme de don d'organes. Cela signifie qu'il n'y a aucune trace officielle de l'endroit où ces organes proviennent.
Dans la vidéo ci-dessous, les chercheurs suggèrent qu'il existe une incitation financière massive pour le gouvernement chinois d'exécuter des prisonniers pour que leurs organes puissent être utilisés pour des transplantations coûteuses.
Comme indiqué Newsweek, en 2006, le prix de vente d'organes est astronomique: un foie pourrait recueillir 98 000 $ à 130 000 $ alors que le prix d'un poumon varie de 150.000 $ à 170.000 $.
Cet article ( Chine prélèvements d'organes sur des milliers de prisonniers politiques de leur vivant ) est libre et open source. Vous avez la permission de republier cet article sous Creative Commons licence avec attribution à John Vibes ettheAntiMedia.org . Anti Media-Radio est diffusée les soirs de semaine à 11 h de l'Est / Pacifique 20 heures. Si vous repérez une faute de frappe, email edits@theantimedia.org .